SILENCIEUX

Si des bruits et des cognements se manifestent lors de votre conduite, vérifiez votre système d’échappement composé du silencieux, de l’intermédiaire et du tube. En effet, un mauvais entretien favorise la pollution, une surconsommation de carburant, la perte de rendement du moteur.

Le catalyseur permet de réduire la nocivité des gaz d’échappement. Perte de puissance, bruits et vibrations dans la ligne d’échappement, une fumée excessive ? Votre catalyseur est peut être endommagé. Vous risquez une perte du rendement moteur, une surconsommation et l’augmentation de la pollution.

Toujours dans la ligne d’échappement, si vous entendez des bruits suspects, ressentez de vibrations, ou constatez des odeurs de gaz, il faut procéder rapidement à une vérification des accessoires de montage d’échappement. En effet, tous ces symptômes non traités peuvent créer des casses. Les accessoires de montage d’échappement doivent être vérifiés tous les ans via un contrôle visuel ou tactile.

ALIGNEMENT 3D

Un bon parallélisme (alignement) des roues contribuera à une tenue de route supérieure, à un meilleur rendement de vos pneus ainsi qu’à une durabilité accrue. Les roues de votre véhicule peuvent se désaligner pour de multiples raisons : nids de poules, chaussée irrégulière, passages à niveaux et accidents. Aligner les roues consiste à ajuster l’angle des roues afin qu’elles soient parallèles entre elles et perpendiculaires au sol, selon les spécifications du manufacturier.

Le parallélisme (alignement) des roues est nécessaire lorsque les pneus sont usés de façon anormale ou que le comportement du véhicule sur la route est anormal. Il est aussi nécessaire après le remplacement des composantes de suspension ou après des réparations à la suite d’une collision.

De plus, un parallélisme (alignement) précis augmente la durabilité des pneus et des composantes de la suspension.

Si vous remarquez que votre voiture vire vers la droite ou la gauche quand vous relâchez le volant pendant un court instant sur une route plane, vous avez besoin de faire contrôler votre parallélisme.

Toujours vérifier le parallélisme (alignement) quand :

  • Vous avez heurté quelque chose.
  • Vous remarquez que vos pneus s’usent anormalement ou de façon irrégulière.
  • Vous rencontrez des problèmes de tirage ou de comportement :
  • Votre véhicule tire ou dérive vers un côté.
  • Votre volant ne se repositionne pas facilement après un virage ou est en position tournée alors que vous roulez en ligne droite.
  • Vous achetez un nouveau jeu de pneus et vous voulez qu’il dure le plus longtemps possible.
  • Vous remplacez un élément de la suspension ou de la direction

BALANCEMENT ÉLECTRONIQUE

L’équilibrage (balancement) des roues est une opération très simple. Elle nécessite cependant l’utilisation d’une machine électronique relativement dispendieuse. Une fois la roue en rotation sur celle-ci, l’équilibreuse sera en mesure de fournir les informations nécessaires pour procéder au balancement statique et dynamique. Pour obtenir un équilibrage précis et juste, le technicien utilisera de petites pesées de plomb accrochées ou collées à la jante.

Afin d’obtenir un confort de roulement accru, il est recommandé de procéder à l’équilibrage (balancement) des roues au minimum une fois par année ou aux 20 000 kilomètres. Il n’est pas rare qu’une roue puisse se dé-balancer légèrement après avoir parcouru un certain kilométrage en raison de la perte d’une pesée ou du degré d’usure du pneu.

SUSPENSION

L’usure des amortisseurs entraîne un affaiblissement du comportement routier de la voiture.
Virages dangereux. En courbe, la voiture a tendance à dériver plus que de coutume. L’arrière se déleste et peut partir à tout moment en dérapage. La prise de roulis est également augmentée, ce qui complique le travail du conducteur. Un simple évitement peut se transformer en tête à queue.
Adhérence réduite. Une mauvaise suspension ne va plus coller les roues à la chaussée. Les pneumatiques ont tendance à quitter le sol. Sur route mouillée le risque d’aquaplaning est décuplé et en cas de freinage (valable sur route sèche également).
Freinage rallongé. Le manque d’adhérence sur le bitume va automatiquement entraîner une augmentation des distances de freinage. Un phénomène encore plus accentué sur route bosselée.
Le mauvais travail des suspensions agit sur les capacités du conducteur. Sans cesse contraint de corriger la trajectoire de sa voiture, l’automobiliste se fatigue plus vite.

La durée de vos amortisseurs ne sera pas identique, que vous rouliez tranquillement sur des routes urbaines ou péri-urbaines, ou que vous soyez adepte de la conduite sportive sur des chemins de montagne. Dans le premier cas, vous pourrez utiliser les mêmes pendant près de 70 000 km sans aucun souci. En revanche les » pilotes » devront les changer tous les 35 ou 40 000 km.
Attention ! L’usure des amortisseurs est progressive. Donc difficilement détectable. D’autant que tout conducteur tend à adapter sa conduite à l’état de sa voiture. C’est la force de l’habitude.

Contrôlez l’état de vos amortisseurs tous les 20 ou 30 000 km. Changez-les tous les 70 ou 80 000 km. Enfin, quand votre voiture atteindra 100 000 km, pensez à faire vérifier les rotules de suspension.

LUBRIFICATION

Dans l’industrie automobile, il est un mythe qui dit que vu les conditions » difficiles » de notre climat, il faut changer l’huile moteur fréquemment. Donc, le changement d’huile à 5000 km est la norme, et il n’est pas question d’y déroger. Après tout, si vous ne le faites pas, le moteur explosera, vous serez arrosé d’huile chaude et de morceaux de métal coupants et la garantie sera annulée sans autre forme de procès. Ça, c’est la théorie. En pratique, des intervalles de changement d’huile deux ou même trois fois plus longs ne sont pas à craindre. En fait, une fois par année serait tout à fait suffisant pour ceux qui roulent peu. Voyons pourquoi.
Avant les années 60, quand la métallurgie, les tolérances mécaniques, la précision d’assemblage et les divers aspects de la gestion du moteur étaient beaucoup moins précis, le changement d’huile à tous les 5000 km était logique. Les carburateurs d’alors étaient très généreux quand le moteur était froid (rappelez-vous les odeurs d’essence les matins d’hiver), et toute cette essence imbrûlée descendait dans les cylindres pour finir dans l’huile moteur. Les segments de piston n’avaient pas les mêmes tolérances qu’aujourd’hui, et des gaz de combustion se retrouvaient eux aussi dans le carter d’huile. Même le style de conduite était différent, avec de plus courtes distances à couvrir chaque jour, ce qui empêchait les moteurs de fonctionner à leur température idéale. Alors, à cette époque, atteindre les 150 000 km sans reconstruire son moteur était une exception, et non la norme comme aujourd’hui.
Dans les années 60, grâce aux améliorations apportées à toutes les sources de contamination de l’huile, les constructeurs ont adopté un nouveau standard de 8 000 km. Depuis, le standard à été de nouveau haussé à 15 000 km ici en Amérique du Nord, et à 30 000 km en Europe, là où le climat est moins froid.
C’est que l’huile moteur ne s’use pas, elle devient seulement contaminée. Et cette contamination se fait très lentement, surtout dans les moteurs modernes qui ne montrent plus les problèmes cités plus haut. La combustion à froid est mieux contrôlée depuis l’arrivée de la sonde lambda à préchauffage, les tolérances sont beaucoup plus serrées, les moteurs atteignent leur température plus rapidement et pour plus longtemps et l’huile elle-même résiste bien mieux aux contaminants.

Malgré cela, on entend et on lit encore que les changements d’huile doivent êtres effectués à 5000 km : dans les magazines, sur les forums Internet, sans parler des subtiles publicités que les producteurs d’huile moteur et les ateliers de changement rapide nous placent devant les yeux n’importe où. Quand ces gens insistent pour qu’on revienne les voir dans 3 mois ou 5000 km, c’est dans leur intérêt, et non celui de la voiture.
De nos jours, il n’est pas rare de voir des voitures et des camionnettes qui atteignent 400 000 ou 500 000 kilomètres sans jamais avoir eu besoin de faire reconstruire le moteur. J’en connais quelques-unes, et je vous jure que les changements d’huile ont été plus éloignés que rapprochés… pas par négligence, mais parce que leur conducteur n’en voyait tout simplement pas la nécessité.
En conclusion, si vos déplacements quotidiens permettent au moteur de fonctionner à chaud pendant une bonne période de temps et si vous utilisez de l’huile moteur de bonne qualité, vous pouvez sans danger ne remplacer l’huile qu’à tous les 15 000 km, ou une fois par année. Ce faisant, en plus de dépenses d’entretien réduites, vous aurez la conscience tranquille face à toute cette huile usée que vous rejetiez inutilement auparavant.

PNEUS DE FERME ET SPÉCIALISÉS

Nous disposons d’un large inventaire de pneus de ferme et spécialisés (Remorque, Tracteur à gazon, VTT, Souffleur, etc.), ainsi que des chambres à air, des roues et même des pièces de remorques. Vous pouvez télécharger les catalogues, à la fin du texte. Afin de rechercher ce que vous avez besoin. Si nous n’avons pas ce que vous cherchez en inventaire, nous pouvons vous l’obtenir, généralement en 1 ou 2 jours ouvrables. Nous pouvons effectuer le remplacement et la réparation d’une vaste gamme de pneus.

Catalogue pneus spécialisés, roues #1

Catalogue pneus spécialisés, roues et pièces de remorques

 

FREINS

Les plaquettes de frein s’usent naturellement et il est donc indispensable de faire contrôler le système de freinage tous les 20 000 km.

Il est impératif de démonter les roues pour vérifier l’état des plaquettes. Si celles-ci ne présentent pas une épaisseur de garniture d’au moins 2mm, il faut les changer.

Il est également possible de contrôler l’usure des plaquettes rapidement en vérifiant le niveau du liquide de frein. En effet, plus les plaquettes seront usées, plus le niveau de liquide sera faible. Dans ce cas, il ne vous suffira pas de remettre à niveau le liquide, car ça ne réparera pas vos plaquettes usées. Sachez enfin que si le niveau du liquide de frein est en dessous du minimum, il y a des risques importants pour que votre système de freinage fuie.

Vous pouvez aussi vérifier vous même les freins à tambour si votre voiture en est équipée. Pour cela, il vous suffit de tirer le levier de frein à main. Si votre voiture ne se bloque qu’au dessus de six crans, les garnitures doivent être réglées, voire remplacées.

N’oubliez pas de contrôler l’état des disques car si ceux-ci sont rayés, ils doivent être changés. L’usure est, bien entendu, normale mais elle ne doit pas dépasser le seuil de 15 %.

Plusieurs critères sont à prendre en compte pour le choix de vos nouvelles plaquettes de frein.

N’hésitez pas à choisir des modèles de marque, gage de qualité.